" Pour que vive la musique des camps, le Maestro " diffusé le mardi 7 février sur France 2 à 22h30
Réalisé par Alexandre Valenti, le documentaire historique Le Maestro, pour que vive la musique des camps, primé par le public à la dernière édition du Festival International du Film d’Histoire de Pessac, est diffusé le mardi 7 février sur France 2 à 22h30.
Ce documentaire produit par Intuition Films et Docs, et en coproduction avec Les bons clients, Intergea et Doc Lab a reçu le soutien de la Direction de la Mémoire, du Patrimoine et des Archives (DMPA) du ministère de la défense dans le cadre de sa politique d’aide aux projets audiovisuels.
A Barletta, petite ville du sud de l'Italie, Francesco Lotoro, un pianiste, poursuit une quête vertigineuse : il veut retrouver toute la musique composée dans les camps de concentration de la Seconde Guerre mondiale. Partitions parfois inachevées ou parcellaires, symphonies, opéras, chansons folk, chœurs religieux mais aussi swings ou musique tzigane : c'est la musique de prisonniers qui n'ont jamais renoncé à leur liberté créatrice. Avec 10 000 partitions retrouvées et recensées durant trente années de recherches, Francesco Lotoro veut faire vivre cette musique écrite là où la mort était la compagne de chaque jour, là où la vie ne tenait qu'à un fil, là où la création artistique était un ultime acte de résistance. Cette musique fut écrite clandestinement par des femmes, des hommes, des enfants, des prisonniers de toutes origines.
Le Maestro, pour que vive la musique des camps
Réalisé par Alexandre Valenti
Conseiller historique : Bret Werb
90 min
Diffusé sur France 2 le 7 février à 22h30
Bande annonce En savoir plus sur la diffusion
Avec le soutien de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, le Programme Media Europe Creative, le CNC, la Région Ile-de-France, Procirep-Angoa, Apulia Film Commission, la Sacem, l'Institut Alain de Rothschild, L'Istituto Luce, Hartley Film Foundation, et MPC Associados.
Avec la participation de France Télévision et RaiTre.
Sous le patronage de l’UNESCO.
Publié le 6 février